Moby en CE1 – CE2
Camille est venue dans notre classe nous présenter le programme MOBY.
Voici les paroles des 19 élèves présents, suite à cette intervention :
Ombeline : « Camille avait mis des boites et on a mis des billes dedans pour dire comment on est venu à l’école ce matin. »
Lou-Anne : « On a parlé des transports en commun comme le car, les transports doux comme la marche et le vélo, les transports carbonés comme la voiture. »
Maho : « Jules nous a montré son gilet de car et nous a dit pourquoi il faut mettre un gilet quand on prend le car. »
Maëline : « On a expliqué ce que c’est le covoiturage. C’est quand plusieurs personnes utilisent la même voiture plutôt que de prendre chacun sa voiture. »
Louna : « Parfois, les parents ont peur de nous laisser venir à l’école à vélo. On peut faire le trajet à vélo avec eux le week-end pour qu’ils voient qu’ils peuvent avoir confiance. »
Amaël : « On a parlé des dangers de la route. »
Diane : « C’était bien d’être avec Camille. On a travaillé en groupe pour trouver les dangers. »
Quentin : « On a fait un jeu : Il fallait trouver les dangers sur une image. »
Hugo : « Chaque groupe avait 7 jetons, parce qu’il y avait 7 dangers. »
Manon : « On a révisé les panneaux du code de la route. »
Jules : « Camille a affiché des panneaux au tableau. »
Lucas : « Le panneau rouge en forme de triangle indique un danger. »
Lélio : « Le panneau triangulaire rouge avec un personnage dit qu’il faut faire attention, il faut ralentir parce qu’il peut y avoir des piétons. »
Elena : « Le panneau bleu et rond avec un vélo dit que c’est obligatoire pour les vélos d’aller à cet endroit-là. »
Paul : « Un panneau rond rouge avec 50 interdit de rouler à plus de 50 kilomètres/heure. »
Téo : « On a appris un nouveau mot : un giratoire, c’est un rond-point. »
Louane : « Il y avait le jeu de la cocotte et il y avait des gages. »
Lenny : « A la fin du cours, Camille avait mis une musique, elle disait des mots, il fallait fermer les yeux et marcher doucement. »
Gabriella : « Il fallait lever les pieds comme si on marchait au-dessus d’un volcan. »